Tu n'as pas honte! :-) Je me demande si le salaire de Melle Chapron était de 27% inférieur à celui de l'instituteur de la localité d'à côté... c'est ce qui se passe en France, rien de changé depuis 1998 si j'en crois ce que j'ai entendu ce matin à la radio.
non ..:))) je m'amuse .. ce livre date de 1914, chaque page me fait sourire! je comprends la situation des institutrices actuellement .. surtout en ces temps difficiles!
Dis donc les temps ont tout de même changé, il y a longtemps que je pousse la porte du saloon avec les pieds. Mais c'est sympa pour l'institutrice elle se donnait du mal pour faire de ces petites élèves de futures esclaves ménagères. Une journée est-ce bien raisonnable? cela ne serait-il pas trop? Bises
Une maîtresse d'école de mon souvenir, se tirait l'oreille pour nous faire comprendre pendant la dictée, là, il fallait mettre un S. Se pinçait le nez pour un Z. Il y avait plein d'autres codes que j'ai oublié. C'est peut-être pour cela que je n'ai jamais été très *fortiche * en orthographe. Plus personne pour se pincer le nez ou se tirer l'oreille.
Ce texte est d'une tristesse épouvantable. Être vénérée, quelle horreur. Combien de femmes et pas seulement des institutrices, ont été "élevées" ainsi ?
Ciao Elfi, ti stringo la mano in questa Giornata Internazionale della Donna e in ogni istante di ogni giorno!
RépondreSupprimerJ'ai bien de le térébenthine, mais ou puis-je trouver un peu de mine de plomb?
RépondreSupprimer•✰ •✰ •✰ •✰ •✰ •✰
RépondreSupprimerTrès bel hommage ! Oui ! Tu as raison, il faut penser aux gentilles institutrices !!! :o)
Je te souhaite une BONNE JOURNÉE DE LA FEMME Chère Elfi !
GROS BISOUS
•✰ •✰ •✰ •✰ •✰ •✰
Bel hommage !!!
RépondreSupprimeren son temps, j'ai écrit ceci, si cela te dit
http://monddo.blogspot.fr/2012/08/une-journee-pour-les-femmes.html
j'ai lu ton billet! c'est bien.. mais en ce livre..l'institutrice enseigne aux femmes ... pour choyer les hommes!!!!
SupprimerMerci für die Pflegeanleitung für meinen Küchenherd ; )
RépondreSupprimerWûnsche dir einen vergnügten FrauenTag
bis bälder big bisou Brigitte
C'est un hommage mérité part la plupart des femmes.
RépondreSupprimerJe suis en voyage, je reviendrai sous peu !
un hommage sous un angle critique! :))
SupprimerTu n'as pas honte! :-)
RépondreSupprimerJe me demande si le salaire de Melle Chapron était de 27% inférieur à celui de l'instituteur de la localité d'à côté... c'est ce qui se passe en France, rien de changé depuis 1998 si j'en crois ce que j'ai entendu ce matin à la radio.
non ..:))) je m'amuse .. ce livre date de 1914, chaque page me fait sourire!
Supprimerje comprends la situation des institutrices actuellement .. surtout en ces temps difficiles!
Comment être jolie et ingénieuse? Toujours la quadrature du cercle ... Heureusement que les femmes s'en f... - enfin!
RépondreSupprimerje sais coudre, broder et tapisser.. voilà mon portrait..de plus en plus moche!:))
SupprimerDis donc les temps ont tout de même changé, il y a longtemps que je pousse la porte du saloon avec les pieds.
RépondreSupprimerMais c'est sympa pour l'institutrice elle se donnait du mal pour faire de ces petites élèves de futures esclaves ménagères.
Une journée est-ce bien raisonnable? cela ne serait-il pas trop?
Bises
Oui... il y a tant à dire que je me contente de leur faire honneur à chaque fois que je les peins !...
RépondreSupprimerJe te souhaite une journée de la femme joyeuse et pétillante, gros bisous.
ps : Je croyais que le fourneau de Richard était celui de Landru ! N'était-ce pas tout simplement le sien ?!! sourire
Tu sais, elles se sont un peu modernisées, depuis...
RépondreSupprimerBises, Elfi, et très bonne journée !
Une maîtresse d'école de mon souvenir, se tirait l'oreille pour nous faire comprendre pendant la dictée, là, il fallait mettre un S. Se pinçait le nez pour un Z. Il y avait plein d'autres codes que j'ai oublié. C'est peut-être pour cela que je n'ai jamais été très *fortiche * en orthographe. Plus personne pour se pincer le nez ou se tirer l'oreille.
RépondreSupprimerCe texte est d'une tristesse épouvantable.
RépondreSupprimerÊtre vénérée, quelle horreur.
Combien de femmes et pas seulement des institutrices, ont été "élevées" ainsi ?
Et ça a perduré après 1914...
Commentaires mordants, les femmes ont mordu a l'hameçon, moi y compris :-)
RépondreSupprimer:)))))))))
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